The Burgers of Solidarity
The clients of the new food truck donnent ce qu’ils peuvent, et parfois rien, contra un repas chaud.

From gauche à droite: Francesco Giammarresi, Amela and Nicolas, benevolent of the association API – l’Action populaire intercommunautaire.
LUCIEN FORTUNATI
À première vue, ce food truck parque au milieu de la zone industrielle de Plan-les-Ouates ressemble à beaucoup d’autres croisés en ville. Sur l’étal, des burgers (steak végétarien en option), fish and chips et frites are prepared à la minute sous les yeux affamés des clients. Ce qui détonne, c’est l’absence de prix. Free? Oui et non.
«Afin de faire plaisir aux plus démunis et leur apporter un peu de plaisir, notre food truck n’affiche pas de montant et ne fournit aucune addition sur les produits qu’on sert. Chacun donne ce qu’il peut (in cash pour le moment) pour un repas chaud. Dans le quartier, il n’y a pas que des cols blancs, mais aussi des ouvriers et des employés aux modest revenus”, souligne Francesco Giammarresi, fondateur d’API – l’Action populaire intercommunautaire. L’association a inaugurated debut January ce restaurant mobile inédit à Genève. L’affaire est naissante mais parvient à tourner, grace aux dons.
Où les trouver?
Habitué du milieu associatif, Francesco Giammarresi, spécialiste du gross œuvre de formation, a lui-même connu des coups durs dernièrement. «On these many people who have lost our employees during the Covid pandemic, and this is the moment-là that I had the idea of proposing des repas sur donation ou gratuits.»
C’est un ami foreign qui lui fournit le food truck, bientôt décoré du tag street food. After avoir ses arms dans l’ex-depot TPG de la Jonction et devant le temple de la Fusterie, le truck s’installe au milieu des multinationales comme Patek Philippe et les chantiers, au chemin du Champ-des-Filles 5, à Plan-les-Ouates.
The Swissroc Construction company, immediately agreeing to the departure, put at the disposal of the benevolent an emplacement sur son parking extérieur, Losinger Marazzi l’électricité et la Commune un droit de passage.
Later, one of the clients valident chaque midi le concept, à l’image d’Illias, 25 years old, who is not a payer plus cher son burger, dont le prix de revient s’élève selon l’association à 4 fr . 65: «Ici, on ne nourrit pas que son ventre de el, mais aussi son cœur de him, en aidant des gens qui sont dans le besoin et qui ne pourront peut-être pas payer.»
stage places
Francesco Giammarresi n’est pas seoul, il peut compter sur des stagiaires plus que motivés. «Créer de l’emploi n’était pas prévu», raconte-t-il. Alors qu’elle faisait la manche dans les Rues-Basses, Amela, aged 24 years et à la rue depuis 2018, lui propose her services comme benévole. From fil en aiguille, Francesco Giammarresi imagine alors des places de stage. À la clef: des repas, une formation pratique dans la restauración ou la logistique et une letter de recommandation, comme coup de pouce pour un nouveau départ. «On s’est bien found. Plus j’ai de bagage professionnel, mieux c’est!» Launch Amela, derrière le comptoir, avec un sourire qui ne la quitte pas.
«If you can help us to faire the food truck API, you have the possibility of faire un don en glissant votre participation dans la boîte qui se trouve sur le côté du comptoir ou par virement sur notre compte CCP. Et si vous ne pouvez pas, un sourire suffira.”
Pendant that les steaks crépitent, Nicolas s’apprête, lui, to like a repas à une femme qui fait la manche dans le froid glaçant, à côté de la Migros. Le trentenaire est également benévole et debutera bientôt un stage de livreur, avec l’envie d’aider à son tour. «La faim et le froid, j’en ai souffert. J’ai connu l’association API quand j’étais dans la merde. Ça m’aide à remonter la pente”, souligne-t-il.
The benevolent builders of the authorization dossier auprès de la Ville de Genève et espèrent tourner au center-ville pour toucher encore plus de personnes précaires, tout en gardant un point d’ancrage à Plan-les-Ouates. D’ici là, ils démarchent des fournisseurs comme Gastromer et fourmillent de projets, à commencer par la vente prochaine de cafés et viennoiseries le morning.
lorraine fasler est journaliste à la Tribune de Genève depuis 2018. Auparavant, elle a travaillé pour RTS info. She holds a master’s degree from the Académie des médias et du journalisme de l’Université de Neuchâtel.
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